Groupe d'activistes en sciences sociales et d'agité(e)s en société
vendredi 26 novembre 2010
"URGENCE", LE NUMERO HUIT A S'ARRACHER !!!
Pour connaître les différents points de distribution dans les villes de Nice, Millau, Arles, Dunkerque, Paris, Marseille et Montpellier, écrivez-nous à tadiens@hotmail.fr.
Le K-SOS : un parcours sociologico-forain dont vous êtes les anti-héros
K SOS "THE VERY SOCIAL PARK"
Si vous souhaitez animer votre village, votre université, votre festival, votre lycée en posant des questions sociales contemporaines de manière ludique, l'association Terrain à Déminer peut installer son dispositif forain, ludique et politique, au grand plaisir de tous les badauds précarisés et/ou révoltés.
1. désigne usuellement une jeune femme membre de l'association Terrain à Déminer (TàD) pratiquant les sciences humaines alter-académiques et vivantes dans l'espace public. 2. désigne un concept de [...] - La suite dans le Journal du TàD n°1.
Adolescence du TàD
Du printemps 2002 au printemps 2005, le TàD a créé de nombreux moments de rencontres, de fêtes, de réflexions collectives au sein de la fac et hors les murs. Il a pu tester ses premières installations sur la place publique, comme son Isoloir libre (toujours en circulation), et mettre un peu de collectif dans l'Université, comme des projections, des débats, de la fête, et du manger. Le TàD a pu grâce à ses premiers partenaires (Marianne Broussard de la salle Jean Vigo, Xavier et Djilo du Peolh Cinema, Cédric Dallier, Agnès Jeanjean, le foyer d'Héphaïstos) vivre des aventures très riches et variées : une réparation de salle de projection universitaire, un carnaval qui sort de l'écran, un débat avec des cinéastes et des penseurs contemporains, des repas prix libre, des fêtes populaires qui débordent du carnet de terrain... Enfin, les premiers rendez-vous réguliers du TàD avec son partenaire stable, le collectif des Diables Bleus, pour des cafés-débats à l'heure de l'apéro. Des apéro-débats sur le travail ou sur la "merde" (les deux mots étant formellement interdits lors des débats sous peine de gages), toutes sortes de grands thèmes universels auxquels chacun peut apporter sa contribution... De grands moments de jeunesse !
Naissance du TàD
Le groupe du TàD est né au printemps 2002 à l'Université de Nice grâce à la mobilisation de jeunes étudiants en sociologie et en ethnologie, soucieux du devenir de leurs disciplines et de leur nécessaire participation à la vie sociale, hors les livres, hors les murs. Le TàD commença ses activités "universitaires" dans la ville (publications sauvages, happenings, collectages de témoignages) et dans des lieux alternatifs comme les Diables Bleus (cafés-débats, expositions) pour ensuite introduire des activités connexes au sein de la faculté des lettres (carnaval, projections, repas, bals, débats...). L'association est née quant à elle grâce au soutien de certains enseignants et du Département de Sociologie-Ethnologie de l'UNSA, pour ensuite devenir une structure indépendante. Aujourd'hui, les membres du TàD sont de jeunes chercheurs en sciences sociales, thésards, documentaristes, danseurs, musiciens, activistes en tout genre, qui persistent à croire que leurs "disciplines" sont nécessaires à tous, même indisciplinées.
Les archives des anti-universités d'été précédentes !!!
Avant Noailles 08, le Poujol 07 et la Bérarde 06... Des photos, des textes et des archives sonores en construction. Pour un avant goût, voir des images !
Le TàD est une association loi 1901 qui a pour buts : 1) L’insertion professionnelle des jeunes chercheurs en sciences sociales : en les fédérant, à la fois localement et en réseau, pour permettre une meilleure circulation de l’information qu’elle soit d’ordre scientifique, politique, administrative. En mettant en valeur leurs recherches et par là-même leurs compétences dans leur champ d’étude ainsi que dans d’autres domaines, par l’échange des savoirs et savoir-faire recensés dans le groupe ; 2) Favoriser l’accès à la connaissance socio-anthropologique et transmettre des outils d’innovation sociale : en recherchant et créant de nouveaux moyens d’approche et de diffusion des disciplines auprès de publics divers ; En faisant intervenir le regard socio-anthropologique en dehors de l’université et des écrits scientifiques, et en donnant une approche pluridisciplinaire et non exclusivement académique aux sciences sociales.
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